Cela faisait plusieurs jours que Nuage de Suie était solitaire, elle vivait sur un territoire neutre où le gibier ne manquait pas, tout se passait bien, et les prédateurs se tenait à l'écart. Finalement, elle préférais cette vie là, pas de lois à respecter, ni de bouches suplementaire à nourir, elle était seule et c'était beaucoup mieux ainsi.

Aujourd'hui, le ciel était bleu, pas un seul nuage. Alors Nuage de Suie décida de chasser, sous ce soleil les proies devrais être abbondante.

Elle avait vu juste, en revenant de la chasse, elle avait attraper 4 campagnols, 1 lapin dodu et 2 moineaux. Nuage de Suie en était fière, alors elle rentra dans sa tanière de fortune pour les y déposer en prévision de l'hiver. Mais sur le chemin du retour, un grand chat brun tigré noir se plaça devant elle, imposant.

<< Laisse moi passer ! feula Nuage de Suie >>

Le chat bandit ses muscules et sortit les griffes et fit un signe de la queue, aussitôt, un petit groupe de chat tout aussi costau que lui arrivère, Nuage de Suie plissa les yeux et vit son père.

<< Papa !!! elle bondit en sa direction mais le mâle brun la stoppa d'un coup d'épaule et la plaqua au sol en plantant ses griffes dans son cou.

- Si tu veux qu'il reste en vie, suit nous. >>

La jeune femelle se débatit, en vain, elle lacha une larme et ferma les yeux en murmurant le nom de son père, puis elle les rouvrit

<< Pourquoi voulez vous que je vous suive ?!

- Tu as une force incroyable. Rester seule ici ne serais que du gâchis pour un si grand talent, de plus, nous somme le Clan le plus fort et grâce à toi, nous le seront encore plus ! >>

Nuage de Suie baissa la tête, elle était bien, seule, mais elle voulais que son père vive alors elle répondit d'une voix seche :

<< Je vient.

- Non !! hurla le père de la jeune chatte, mais le matou qui le tenait le fit taire d'un coup de griffe bien placer

- Bien. répondit le chat brun, suit nous. >>

Il fit signe de la queue à son camarade de relacher son père, puis ils encerclérent Nuage de Suie et la conduisirent vers leurs terres. Elle se sentait plus que prisonnière, elle voulais fuir, rester seule, mais s'en était impossible.